« C’était gai d’aller chez les disquaires », s’exclame le 15 mars 2018 une animatrice de Nostalgie dans un podcast de Brice Depasse rendant hommage aux passeurs de disques et d’émotions sur vinyles. Merci, Brice !
Pour rappel, ce présent blog (prélude à un bouquin) raconte la vie des disquaires des années 60’ à la fin des années 80′, jusqu’à l’arrivée du CD, en gros.
La Nostalgie selon Brice Depasse
La nostalgie n’est pas un vilain défaut, doit sûrement penser Brice Depasse.
Ce cador de la radio Nostalgie nous replonge dans notre vie d’avant. Quand la musique allait moins fort (euh), quand elle était bonne (euh, euh)…
Et surtout quand on allait dans un magasin pour l’acheter. Les anciens s’en souviennent.
Notre chantre radiophonique (*) a écrit un texte à la gloire des disquaires, passés, existants et futurs puisque, qui l’ignore, ce métier presque disparu revient à la mode.
Brice cite notamment la Maison Lesire,dont je parlerai sur ce blog, ainsi que la Boite à disques de Marie (dite Mimi, ma maman quoi…).
Un magasin de disques à Anderlecht
Brice cite notamment la Maison Lesire,dont je parlerai sur ce blog, ainsi que la Boite à disques de Marie (dite Mimi, ma maman quoi…).
Il cite bien sûr aussi les enseignes légendaires. Mais il a oublié un disquaire d’Anderlecht qui a tout donné pour ses clients : déniché le disque introuvable, conseillé, faire écouter, partagé sa passion. En grande partie pour un chanteur mythique disparu en décembre 2017 et dont les médias reparlent en 2018 en raison d’un litige sur son héritage.
Bien sûr, vous avez reconnu Johnny Hallyday.
Mais le disquaire, l’avez-vous reconnu ?
Son nom : Walter Hauwaert. Son magasin (le dernier) : Disco 2000, rue de Formanoir à Anderlecht.
À suivre !
(*) Brice Depasse a accompli un petit exploit littéraire, toujours sur « toute la musique qu’on aime ». Pour la petite histoire, cette histoire a poursuivi sa vie sous la forme d’une bande dessinée que je vous recommande, Londres 1968, aux éditions Chronica.
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